jeudi 24 février 2011

lundi 7 février 2011

C'était un canife désormais c'est un pieu.




Je suis le sable que tu tiens dans ta main. Tu te relâche sous l'effet de la confiance. Et il file entre tes doigts, il glisse lentement, il s'enfuie et tu contemple. Et quand sa course s'achève, il ne reste au cœur de ta main qu'une infime partie de ce qui s'y trouvait au commencement. Il te reste un souvenir. Des morceaux dans ton cœur. Je suis le vent. Et tes murs n'y peuvent rien, je te démolirai. Je suis la lumière. Et je m'attache à t'aveugler. J'annule ta perception, dans la clarté tu reste ignorant.Je suis la pénombre. Tu t'y noie. Tu succombes.

vendredi 4 février 2011

Implied


Encore un weekend dans le noir. C'en est presque lassant.


Don't you ever talk to me again. Unless it's to say "i love you". Cause you're confused. And confusing. And i'm sick of your heavy silences, i can't carry them anymore. They are burrying a deep hole inside of me, a hole with your name on it. You're like acid. So sour and consuming me. And i can't love anyone else, if i can't love you. I wish you could just pass over everyone's idea of you. They don't know you. They don't want you as i want you. I assume they don't have our connection. Miles away, we stare. Miles away we do care. And when i see your face, the whole world collapses. But by searching for yourself you're killing me. Are you looking for me are you despising me. Love's so strong it's turning to hate. I so hate you. I despise you for what you'll never admit.