dimanche 25 janvier 2009

Il est 22:30, je suis malade, je veux aller à Paris, refaire du cheval, aller chez Marie et voir le sujet.


J'ai envie de m'allonger par terre et de me reveiller à 17h demain, les idées claires, tout devant mes yeux. Mais demain on est lundi, et putin j'ai pas de fièvre. Mes lymphocytes sont couillé, j'en ai marre.
C'est drôle mais c'est fatiguant, je m'amuse mais je souffre tellement.

jeudi 22 janvier 2009


Tu as joué, et perdu.


Trop tard, je cours.

mercredi 21 janvier 2009

I feel the adrenaline moving through my veins


Je suis devant toi maintenant, alors ne me perds pas de vue. Parceque je suis la seule que tu connais qui ne serais pas chez moi. Tu joues avec mes nerfs, avec mon coeur. Je collectionne tes essais, ils laissent des traces brûlantes. Je voudrais être protegée de tes ataques, parceque je vais exploser. Je veux tout savoir, je suis tombée dans le piège. Mais je voudrais aussi que tu tombe avec moi. Que la chute sois longue et douce, puisque tout est si doux à tes côtés. Que la reception soit tendre. Parceque nous n'avons pas l'eternité, ma patience s'etire au maximum. J'ai cedé, j'attends, je faiblis. Quand je me mettrais à courrir, tu ne pourras plus me ratraper.

mardi 20 janvier 2009

Reste dans l'ombre


J'ai trop donné et j'ai trop perdu pour refaire les même erreurs. Je t'explique, en clair, pourquoi je te refuse, pourquoi je NOUS refuse. Je nous hais.

BURNER


Mais regarde juste dans mes yeux, comment n'as-tu pas pu voir, au bord de mes pupilles, la colère et la haine que j'ai pour toi qui dégoulinent? N'est-ce donc pas assez explicite pour ta sécité? J'ai souhaité ta douleur plus que tout au monde, comment peut-tu encore oser lever les yeux sur moi? Ne cherche plus jamais mon regard.

jeudi 15 janvier 2009

I still can see you behind your lies


Une déchirure, un trou béant. Mon coeur pleure, de cette blessure irrefermable qui continue de brûler. I'm still NO ONE. Chaque nouvelle image qui t'appartient me tue. Et c'est ma faute!


J'avais tellement contemplé ce mot, l'avais tant regardé plus que lu, qu'il avait perdu tout son sens, se rendant abstrait sous mes yeux abrutis, faisant oublier toute la souffrance et l'irreversibilité des faits qu'il signifiait pour moi. Lorsqu'enfin, je sortis de mon hébétitude, elle-même laissant place à une étrande lucidité, je sautais sur la chose qui serait capable de l'effacer, et mes gestes, emprunts d'une rage que je ne connais que trop bien, se furent rapides et efficaces, me debarassant ainsi d'une partie de la marque au fer rouge qu'avait laissé l'évènement dans mon esprit, me liberant de l'invocation quotidienne et inconsciente qui me brûlait un peu plus chaque jour.

It was a wolf in sheep's clothing Now it's so clear to me.


Je me deteste. Je perds un temps fou à vouloir m'ameliorer, mais c'est peine perdue. J'oubli et perds tout, je ne suis pas digne de confiance, je ne tient pas mes promesses, je suis sans intêrets, et j'ai compris pourquoi il ne m'aimerait jamais. Please, let me go. Please, let me hate myself. Let me revolving around my mind alone. The air is sick like hospital. Tout ces pas qui disparaissent, je leur ai dit de partir. Tout ceux pour qui je suis un fardeau. J'aimente l'inutile, prèche le nuisible. J'alimente la solitude et le désemparement de ceux qui croient trouver en moi quelque chose. I'm empty. Ich bin leer. Je suis vide. J'ai envie de crier, alors je me plains. J'ai envie de pleurer, mais je me retiens.

I've had enough of my games
I'm not going to win, never

mercredi 14 janvier 2009

Feelin' you comin' around You're breakin' me down [move on, come on, get out]






We Were (Supposed To Be) Lovers




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J'ai ésperé que tu ne lises rien sur mon visage. J'ai voulu être infaillible et indispensable.










AND NOW OUR LOVE HAS BEEN FORGOTTEN


LIKE IT WAS NEVER THERE


WE'RE JUST SITTING HERE LIKE STRANGERS


YOU GAVE ME YOURSELF FOR JUST A LITTLE WHILE




mardi 13 janvier 2009

They call me quiet, but i'm a riot.


Tes photos s'enchainent, mes lignes défilent. Nos atomes crochus danssent dans la même cour. Le même pays d'origine, cette liaison directe avec la Vodka. L'impression de se connaître sans trop parler. High heels, Red dress. Les même coups de gueules, les même reflexions. Nos neurones qui chantent Sway en choeur. Choked by the gold, on your finger. Soeurs d'une autre vie, un lien familier pourtant jamais vécu. TO FINISH

jeudi 1 janvier 2009

That's the one I like the most




NOW THAT WE'RE DONE


I'M SO SORRY


WHY DID I LIE,


I'M SO SORRY,


I KNOW I HURT YOU,


I KNOW I HURT YOU..






Because we're one mistake from being together


But let's not ask why it's not right


We can exit the building


And scream like a car alarm


Hold up, let me catch my breath


Nous sommes une erreur du fait d'être ensemble


Mais ne nous demandons pas pourquoi c'est mal


On peu s'evader des immeubles


Et crier comme une alarme de voiture


Supporte encore, laisse moi reprendre mon souffle




S O R R Y


We will fight

Fortify

We won't crash into oblivion

We will climb

Undeny

We will draw our own conclusions.




Tout ce temps perdu. Qui ne sera jamais ratrapé. Je deteste ce sentiment d'impuissance, savoir qu'il aurai dut en être autrement. Mais qu'il est trop tard, et qu'il faut avancer. Même si je suis la seule à le vouloir. Je n'attends plus grand chose, sauf la possibilité de m'aporter moi-même ce qu'on refuse de me remettre. 11ans sur 14, c'est une grosse partie. Mais finalement, 11, 12 ou 13ans sur une vie? Résolution.


Bored to re-volve around myself.




I need some kind of release

I need some kind of release

I need some kind of release

I need some kind of release

What we're waiting for is always slipping away so far that i can't see















































































It's what you've ever wanted. So keep it up.



Je ne sais pas pourquoi c'est si dur. Je ne comprend pas. Peu-etre aussi que je refuse de comprendre, que ce que je veux, ou plutôt que ce dont j'ai besoin, n'est une priorité pour personne d'autre que moi-même. Et peu-etre qu'ils refusent aussi de comprendre que c'est un besoin vital, que mon arret brutal n'est que le renforcement de mes convictions, une confirmation de mes certitudes. Ils l'ignorent. Et je ne peu pas me résoudre à avouer. Ils se persuadent que j'oublierais, que je me lasserai. Mais non, j'ai enfin compris. Depuis mes 6 ans, c'est ce que je veux. Que j'ai attendu pendant 4ans. Que j'ai depuis maintenant depuis 5ans.Et c'est ce que je veux, maintenant, pour toujours.