samedi 28 février 2009

"J'ai mal au coeur, de tant t'aimer."

There's probably no God. Now stop worrying and enjoy your life.

You know that i can use somebody. Someone like you.




Tu sais que je pourrais avoir besoin de quelqu'un. Quelqu'un comme toi. Avec ton savoir et ta façon de parler. J'espere que tu va le remarquer. Quelqu'un comme moi.
Je n'ai aucun compte à lui rendre, je suis libre. Libre d'être stupide, d'avoir mal au coeur, peu importe. Je n'ai rien à perdre, tant à gagner. Puisque la speculation n'existe plus, je fais abstraction des autres. Et je nous fais confiance.

You spin my head right round, right round, When you go down, when you go down, down.


Je serai féroce et agréssive, directe et violente. Je n'aurai aucune pitié, aucune lueur de doute dans mes yeux. Ce n'est pas la première fois, et j'aurais dût le savoir. Mais tu a pointé mes faiblesses et je suis tombée. Peu importe le choc de la relève, tu en subira la douleureuse contrepartie.

lundi 16 février 2009

If you're not the one


Les lumières de la ville n'ont plus d'impact parceque je t'oublie. Parceque la douleur n'est qu'un subtérfuge du cerveau, destiné à nous freiner dans nos actions. L'asphalte qui défile sous mes pieds n'a plus aucune importance. Les images qui m'effleurent sans vraiment me toucher me lassent. Peu importe si je ne vois plus la lumière derrière les nuages. La solitude n'est plus qu'une fatalité commune, un fait admis. L'horloge et son tic tac d'aprobation sur le temps qui passe n'a plus lieu d'être. J'oublierai aussi de dormir. Une partie de moi sera absente et l'autre morte. Mais dis moi comment je suis supposée vivre sans air. Si tu n'es plus là je ne peu juste plus respirer.

( Je crois que mon tiers apprend à jouer. Il apprend à vivre. Et je veu qu'il apprenne à aimer. Mais il doit apprendre a ne pas faire souffrir. Trop tard.
Vous pouvez dire ce que vous pensez, puisqu'après tout, Nuit et Jour, Nuit et Jour avec lui, sa me branche. Alors pensez plus fort, qu'on vous entende malgrè ma vue encore brouillée et mes oreilles presque déjà sourdes. Je voudrais bouffer sa timidité, sa pudeur, et la mienne avec. Je dois faire attention, que le tiers n'occupe pas la moitié, voir les trois quarts. C'est dangereux, le jeu qu'on jou maintenant. Mais s'il faut vivre dangereusement pour lui, je me met en danger ouvertement et à outrance. Juste parcequ'il ferait pareil. Je ne le connais que trop bien maintenant. MAIS . L'ignorance est la pire des torture. Je ne sais pas ce que j'attends du tiers. Je ne sais pas ce que le tiers attends de moi. Sa promet. Et pendant ce temps, certain apprenne à chanter en langage sourd muet.
)

( Je lui en voudrais toujours. Sa peu paraître idiot, puéril, mais il existe tant de haine entre nous, toute cette rage que j'ai entretenue malgré moi, parceque je ne peu pas m'en empecher. C'est elle qui soutenait la distance entre nous. Bien ou mal, je ne voulais pas le savoir. Jouer le pigeon ne doit pas être drôle non plus, mais je lui ai dit de s'equarter. Maintenant il m'agace. Il ne croit pas qu'on peu s'ignorer toute l'année. Mais le pire est surement qu'on en est parfaitement capables.
J'ai passé des heures devant ces lignes de souffrances, et je crois que ça m'inspire...de l'envie. Même s'il faudrait avoir une peau d'albatre. Même s'il faudrait vivre en etroite relation avec les gouttes de pluie gelées. Même si la chaleur devait disparaitre à jamais. C'est bien de l'envie )