lundi 29 juin 2009

It's like a poison in my brain, i'm freakin' out!
















La joie qui me rend parano, je t'aime je t'aime. Qu'est-ce qui fait de moi cette boule d'optimisme, plus que le stresse qui me tient à la george? J'aimerai m'abandonner à tes bras mais tout cela semble trop risqué, pourquoi ne pas se laisser porter tant que c'est si agréable? Je t'aime je t'aime. Le temps s'écoule avant que tu te rende compte que tu es gelée, pourtant tu fais fondre mon coeur. I MUST BE PARANOID !





I could be your Sid and you'll be my Nancy, i could be your Clyde and you'll be my Bonnie.

vendredi 26 juin 2009

And your voice was all i heard, but i get what i diserve.


J'ai compris. Une partie seulement. Enfin, qui arrive un jour à se connaître parfaitement? Elle a peur des liens, qu'ils l'emprisonnent. Qu'ils la serrent au point de l'empêcher de respirer. Et elle a tort, elle le sait bien. Mais elle n'a pas l'impression de contrôler cette partie d'elle-même. Elle ne fait que la subir. Subir les choix qu'on fait pour elle. T'es instable, incapable de savoir ce que tu veux. Quesque je pourrais te donner quand t'es même pas sure de vouloir de moi? C'est fou ce qu'elle culpabilise. Elle culpabilise d'être incapable d'aimer à l'unisson. Elle se torture, aime à la folie, avale chaque goute de douleur avec attrait. Et quand son plaisant supplice prend fin, elle croit à une erreur, une abérration de plus sur son tableau des contresens. L'histoire se finit toujours dans une confusion et une incompréhension déstabilisante, il lui faut du temps avant de se redresser. Elle réalise plus tard qu'elle s'est elle-même jetée dans ce précipice.

Can you stay up for the weekend?


PHOTOS BY MOLOKOLOK

Je me déçois moi même. Et je suis sûre que je déçois aussi les autres, tous les autres.




Feel pain, swallow a fear.




"Ces gens ont un style personnel, des principes. Ils ont tous des vies différentes, des buts différents, aucun d'eux ne se ressemblent. Et c'est ce qui fait leur homogénité."

mercredi 24 juin 2009

Une fin cache déjà un commencement qui se prépare.


La perfection s'épelle : "P.A.R.A.L.Y.S.I.E.".

Tentez votre chance. Souvent. Encore. Et encore. Et encore. Et encore. Et encore. Et encore. Et encore. Et encore. Et encore.

mardi 23 juin 2009

Might don't have to do so. May don't have to go, HEY YOU !

Because i saw your eyes, i know your lies, i know who you can be and i, want you.

C'est à ce moment là que j'ai compris qu'elle pourrait m'être fatale. J'ai compris qu'elle n'avait qu'à tendre la main pour saisir mon coeur. Et qu'elle le rendait si fragile, qu'un seul de ses gestes le briserait. Je me suis senti si vulnérable et pourtant si fort à ses côtés. Aujourd'hui quand je l'ai vue un sentiment étrange m'a envahie, une joie intense mêlée à une terreur paralisante. J'aurai voulu ignorer le feu d'artifice qui me tenait en ébullition, mais elle continuait, elle n'arrêtait pas de faire scintiller mon coeur. Prisonnier, et léger à la fois. Tu crois que je partirai. Tu ne me crois pas quand je dis que je serai toujours là. Pourtant c'est la verité, parceque j'ai vu tes yeux.

dimanche 21 juin 2009

Fuck you!

Fuck you !
she's a dime

L'erreur qu'on ai tous fait c'est te faire confiance mais quand tu n'aura plus personne à trahir, dis moi, tu fera quoi?
Comment savoir si c'est trop tôt ou trop tard l'envie d'apprendre me consumme et t'allume ils aimeraient connaître ce jeu, ils observent, captifs de l'ardeur ambiante du fait de cette proximité, aprivoiser ces flammes ne jamais oublier l'effervescence ni la suavité de tes gestes, placides êtres, crédules, présomptueux, otages du voluptueux étau, jamais ne brûle la politesse ni n'écarte les hypothèses, on adule ce qui malmène, puis, dolices on s'abandonne et on s'immole, la fièvre au corps.

dimanche 14 juin 2009

She's lost control. Still can't say she won't start up a fight.


Pourquoi tous ceux qui disent t'aimer foirent. Ils ne savent que te blesser, ils ne sont jamais à la hauteur. Ils te trahissent et tu ne trouve pas un moyen de leur pardonner. Toute la confiance que portes en eux, ils t'obligent à la reprendre, à tout détruire, encore et encore. Ils t'ont mise en morceaux, violemment, inconsciemment. Tu voudrais de la compréhension, de l'affection. Mais ils ne te donnent que de la pitié et tu traîne cette douleur, tu t'immole. Ils sont le seul poison dans ton coeur, tout en étant ta seule addiction. Ils te poussent à perdre le controle, à t'effondrer. Tu cherche la faute sans la trouver, tu scrute de gouffre dans lequel ils vont te jeter. L'injustice te parait evidente, tu t'abnègue, ça n'est jamais assez. Tu veux disparaitre, disparaitre. S'ils te laissent faire.

lundi 8 juin 2009

Fool.



I use to sing you the song that cheer you up.
I use to find the words to make you hold on.
I use to make my heart beat when you're out of breath.
But i don't want to feel this way, it's not what i've planed at all.
It's Logical!