mardi 28 avril 2009

Au risque du regret, j'abandonne. Le jeu n'en vaut surement pas la chandelle.


Je n'arrive pas à le cerner. Il se crée une image, à laquelle je ne dois absolument pas croire, il se cache derrière celle que je suis censée comprendre. Je suis perdue!

dimanche 26 avril 2009

The faces all around me they don't smile, they just crack.


<< Mon coeur saigne et découle sur mes poumons, j'ai du mal à respirer. Cette douleur liquide se répand dans tout mon être et me gangrene physiquement, moralement. Il faut que je bouge, chaque minute de répit tombe lourdement dans ma tête déjà trop remplie, chaque silence portant à ébulition ces éléments. >>
Ignorance, culpabilité, résignation.

I'm just nothing, yes that's just what I've become. What am I waiting for? It's already done.

Just give me something to believe, cause I am living just to breathe
And I need something more, to keep on breathing for,
So give me something to believe.

jeudi 23 avril 2009

Bite the dust.


Tu n'a aucune idée de ce qui se passe dans ma tête. Le fait est que je ne suis pas comme toi: naïve, irréaliste, faible. Arrête de croire en tes rêves, grandis. On ne sera jamais pareilles tu ne peu t'indentifier qu'a toi même car malheureusement pour toi ton immaturité fait de toi une personne unique. Une personne seule et idealiste, puérile, balayée. Tes souffrances ne sont pas ce que tu veux qu'elles soient, elles ne cachent aucun amour, aucune reconnaissance. Tu ne peu pas continuer à croire ce que personne ne pense et entendre ce que personne ne veut dire. Il reste si peu de respect à ton égard, si peu de confiance. Ne t'avise pas de me compter encore une fois dans ceux que tu connais. Tu ne sais rien sur aucun des sujets qui me concernent. Tu souffres, j'espère que tu as mal. Tu vas devoir apprendre à subir: je me chargerai que cette douleur dure.

samedi 11 avril 2009

jeudi 9 avril 2009

Poubelle / Trash (I Got You under my SKIN)


C'était un déchirure. J'essayais de le cacher. Mais je pourrissai de l'intérieur, et ça se voyait.

*

C'est faut. J'ai vu ses yeux, j'ai fondu. J'ai vu les siens, ma haine a ressurgit.

*

La legerté m'ecrase mais j'essai de peser mes mots.

Et ce soir encore tu ne va pas dormir mais ce n'est pas grave je t'entends souffrir.

Je le vois par les yeux d'une et ça ne fait que nous nuire.

Je refusai d'avouer tant qu'elle s'acharnera.

Je n'ai pas envie de partir, tu n'as pas envie de me retenir.

Il faut que je pleure.

La capitale scintille et tu te couvres d'étincelles mais au fond de toi il n'y a qu'un gouffre.

lundi 6 avril 2009


But I got you under my skin, and I can't get you out of my mind. Because you've got me distracted. You make me shine, you make me know. I'm trying so hard to dry my tears.








Je me rapellerai toujours du vent frais dans mes cheveux, les mains serrées sur la rambarde plus tout à fait blanche, l'air de la forêt dans mes narines et mes paupières baignées de la lumière ocre du soleil couchant. Je me rapellerai toujours des toits d'ardoise sous le ciel rosé, des oiseaux dans la goutière, des gendarmes au pied des maisons. La descente de briques rouge, les cabanes, les suicides et les battailles d'eau.

jeudi 2 avril 2009


Il n'est pas parfait. Derrière ses lunettes il cache une réalité qu'il est le seul à connaître, une énigme qu'il refuse de laisser déchiffrer. Et si parfois les chimères le guident ses ailes ne sont pas blanches, certains même le dise déchu. C'est un estafier, il en est surement conscient. Il ne ment pas, il laisse croire qu'il dit la vérité derrière les intrigues auxquelles il est difficile de se débattre. Il porte ses pas là où on lui demande d'être, a appris les fourbures de l'abnégation. Peu importe les bavardages il progresse seul face à ses buts. Et jamais il ne se retourne, même si son dos le brûle, du fait des oeillades de ces hommes. Avoir toujours une centaine de choses à lui dire, bien programées dans ma tête, chaque phrase harmonisée dans une argumentation sans défaut, lui expliquer comment j'ai eu tort, combien je m'en veux. Et pourtant c'est toujours le même boulversement qui se produit, peu importe les heures passées à repeter le scenario, jusqu'a epuisement, ça ne veut plus rien dire du moment où je sais qu'il est là, qu'il me juge, qu'il me hai. Peu importe les nuits sans trouver le sommeil et la culpabilité qui rend fébrile. Les promesses que je me suis faites, mes convictions, ça n'a plus d'importance, je me sens si petite, inutile, fautive. Je n'ai aucune raison de penser celà, aucune raison de penser le contraire. J'ai trop peur. Encore et toujours. Lâcheté et tremblements. Egocentricité et sottise. Il est si important. Une seule confusion et je meurs sur place. Je n'ai pas le droit à l'erreur, je ne me donne pas le droit de décevoir. Il ne dément pas ce que j'entends, me dit des choses differentes, des choses que je voulais croire, auxquelles je refusais stupidement de me fier.

mercredi 1 avril 2009

Cours dans ma tête

Passe dans ma tête

Tu es la brise, Plus que le vent entre mes ailes

Tu es la mer, et soudain la vague qui me coule profondément

Peu tu me dire comment je peu respirer?

Quand je te sais au dessus de moi

Ca me fait penser "Wah, quesque ça veut dire, d'enfin sentir mon coeur...battre"



Pourquoi je ne trouve pas le temps

Comment je peu en finir avec ça? En finir...

Tu cours dans ma tête chaque seconde

"Comment puis-je m'entrainer?"

Tu m'as détraqué..Tu m'as tellement détraqué.

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-Tu es magnifique.


Elle le regarda par dessous ses faux cils, son pouls s'accéléra. Il effleura sa joue de ses doigts chaud: un contact vibratoire. Leurs doigts s'entre-croisèrent, le stresse les enveloppa. "Jamais je ne regretterai ces moments passés avec toi". C'est bien la peur qui synchronise les pulsations de leur coeurs. Les gens autour vont et viennent, l'ambiance est effervescente et la tension palpable. Pourtant ils sont placides, parcequ'analogues.