"Mais il ne s'en souciait pas. Il marchait, le regard droit, le dos mutilé par les regards des gens."
mercredi 25 mars 2009
mardi 24 mars 2009
Because when I arrive, I bring the fire, Make you come alive, I can take you higher

Une petite dose d'adrénaline. Oui, ses prunelles sont une vraie drogue. Son regard suinte la perfection, nous appelle à l'addiction et au désir. Il nous tient captif dans son cercle de dépendance, dans son piège mortel. Alors c'est un zéphyr qui caresse nos coeurs quand il se risque à nous analyser. Mais c'est un cataclysme qui s'abbat au moment où nous devons lâcher prise. Quand la volupté laisse place à une lucidité douloureuse du fait de la prise de conscience. C'est bien une exaltation qui nous emprisonne étroitement.
lundi 23 mars 2009
dimanche 15 mars 2009
Pourquoi Windows met-il autant de temps pour supprimer un dossier vide?

J'avou en avoir aimé d'autres après toi. Mais les souffrances n'ont jamais été les mêmes, jamais aussi puissantes que celle qui se raportait à toi. Ces mêmes blessures, infiniment profondes, ne seront sûrement jamais guéries.
Dans tous mes soupirs
Je ressens ton désir
Je garde ton odeur
Sur moi pendant des heures
samedi 14 mars 2009
Ecouter Feist sous la pluie et Temperature pour apprendre à faire la roue, This Providence quand on veut mourir et Paramore quand on s'ennui.
mardi 10 mars 2009

La douleur de tes défenses trop simplistes, presque fictives. La lâcheté que tu refuse d'admettre, tu as encore tort. La naïveté que je ne veux pas justifier, car les faiblesses dont j'ai fait preuve sont légitimes. Tes choix. Tes erreurs, sur la ramure d'une nouvelle page blanche. Les faits. Et les cicatrices, dont tu renforce la torture.
samedi 7 mars 2009
Ce qui ne s'est jamais accomplit n'est pas extravagant pour autant.

Je te voyais de l'autre côté de la rue, lorsque le paysage a soudain changé. Ce n'etait plus une route, de l'asphalte qui nous séparait, mais une mer. Une mer sombre et agitée, froide et effrayante. Un vent gela l'atmosphère, un ordre d'immobilité. Stupéfaction, impassabilité.
Je dois dire que ce fut le meilleur conseil qu'on m'ait donné, car quelquechose brûla en moi. Tout ce qu'il me manquait pour comprendre la tempète qui nous déchirait s'embrasa. Tous les mensonges qui m'empechait de me sentir libre, ils partirent en fumée. Dès lors, la mer glaçée devint incandéscente. Elle devint limpide et sereine. Les doutes, la jalousie, la cupidité, la confiance, les questions, les erreurs, les illusions, l'amour, se consumèrent en elle. Puis elle devint franchissable, la voie devint visible. Je pouvais me jeter toute entière de l'autre côté, tu pouvais tendre ta main pour saisir la mienne. Mais si je décidais de ne pas te rejoindre? Si je décidais de tourner le dos aux risques dont tu n'a pas conscience, aux circonstances que tu ne veux pas admettre, aux faits que tu refuses de voir? Si je décidais de te tourner le dos, à toi.
mercredi 4 mars 2009
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