





La capitale qui m'obsède semble si loin. Je n'ai plus de famille, que des souvenirs. Ton pays ne veut plus de moi et j'en ai assez de lui, la nostalgie s'installe et la mélancolie ronge ce qu'il reste à tuer. Je n'ai pas d'alibi, je suis bien coupable. Coupable d'être égoïste et personnelle, de te ruiner car je me lasse trop vite. Il n'y a pas de violence sans victime et tu t'expose dans chacun de tes gestes à ma méchanceté. Je ne peux pardonner l'impardonable: je n'aime pas ce que tu es et c'est une faute irréversible.
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