lundi 14 septembre 2009

Brick by boring brick


You're automatic, your heart's like an engine. I die with every beat. You're automatic and your voice is electric. Why do i still believe. There's no REAL love in you, why do i keep loving you?


Et tu crois que c'est finit car pire, c'est la mort. Tu sens que le rythme te traverse. Tu sais que le doute te transpèrse. Tu partage ton mal-être avec toutes les autres comme toi. Tu te trouve trop imparfaite et tu voudrais changer mais les défauts que tu te créent sont invisibles aux yeux de la vraie societé. Tu sais que si tu les efface, ils te laisseront vide. Et à ce qu'ils disent, tu reste sourde, il n'y comprennent rien. Tu battiras ton chateau, brique par brique. Défaillance après défaillance. Jusqu'a t'emmurer. Tu te sentiras mieu, lorsque tes illusions de faute seront enfin concrètes. Lorsque tu pourras te torturer seule. Tu n'es surement pas consciente de la suite. Car les démons sont comme une pollution, une fumée toxique. Tu ne verra plus les nuages. Ton plafond sera de plus en plus bas, jusqu'a t'écraser, jusqu'a te rendre minuscule. Quand tu t'éstimeras moins qu'un débris, tout cela finira dans un bain de sang. Parceque tu n'a pas su voir. Voir que tu étais une poussière, oui. Mais un poussière d'étoile. Infiniment fragile, imperceptiblement implosante. Magnifique et rare, unique et facétieuse. Tu aurais pu libérer tes secrets et scintiller pleinement. Au risque de perdre, tu n'a pas joué. Mais tu as quand même perdu.