jeudi 15 janvier 2009

I still can see you behind your lies


Une déchirure, un trou béant. Mon coeur pleure, de cette blessure irrefermable qui continue de brûler. I'm still NO ONE. Chaque nouvelle image qui t'appartient me tue. Et c'est ma faute!


J'avais tellement contemplé ce mot, l'avais tant regardé plus que lu, qu'il avait perdu tout son sens, se rendant abstrait sous mes yeux abrutis, faisant oublier toute la souffrance et l'irreversibilité des faits qu'il signifiait pour moi. Lorsqu'enfin, je sortis de mon hébétitude, elle-même laissant place à une étrande lucidité, je sautais sur la chose qui serait capable de l'effacer, et mes gestes, emprunts d'une rage que je ne connais que trop bien, se furent rapides et efficaces, me debarassant ainsi d'une partie de la marque au fer rouge qu'avait laissé l'évènement dans mon esprit, me liberant de l'invocation quotidienne et inconsciente qui me brûlait un peu plus chaque jour.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Pour le mix c'est quand tu veux, tu veux créer le blog, mettre tes textes et tu rajoute les photos que tu veux, ou tu préfère que je m'en charge ( aucun problème sauf que ce soir je ne peux pas, enocre des devoirs infiniassablessss...)? Bon juste, je voulais te dire que ce que tu écris, je trouve ca génial, et pour le "mix", on se met pas la présion, on fait le mieu qu'on peu, chacune de notre côté, et sur le blog on rassemble tout :)
Non clément m'a sauté decu...Bref on s'en fou sur le moment fallait que je le dise a quelqu'un :S
Ta les jeudis morose? Moi c'est plutot les dimanches qui me font tous voir en noir!